top of page

LA PETITE MISÉRICORDE - Périgueux

  • Photo du rédacteur: Glady de Brégeot
    Glady de Brégeot
  • 26 oct.
  • 1 min de lecture

Dernière mise à jour : 28 nov.

l’hôtel de la Petite Miséricorde ainsi que la rue de la Miséricorde devront leur appellation au couvent du même nom qui existait au XIIIe siècle.

Au XVIIIe siècle la Petite Miséricorde au 4 de la rue, est la belle maison de pierre des demoiselles Duclaud héritière du chanoine Jean-Baptiste Michel-Duclaud et Bouchier de Vignéras dont la famille possède le château de Vignéras à Champcevinel, où elles avaient ouvert une maison d’éducation pour jeunes filles.


Son portail de pierre à fronton entrecoupé impose le rang de ses propriétaires. Élevée d’un premier étage noble sur un rez-de-chaussée, elle est complétée de deux autres étages tous largement éclairés par trois baies la plupart à meneaux à meneaux par étage et des fenestrons.

Elles demanderont à l’Evêque de Périgueux son aide et sa protection mais la Révolution mettra un terme à leur activité.

En 1785 Jeanne Dorothée Michel-Duclaud, avait épousé Antoine Gros de Béler, juge de paix et la maison de la rue de la Miséricorde entrera par alliance à Antoine Gros de Beler.



En 1834 ce sera la propriété des familles Véchembre et Vignéras.

Elle sera bien restaurée dans les années 1970 et elle possèdent des plafonds à la française et quelques belles cheminées anciennes.




ree
ree
ree
ree

Photo canal.blog - château de Vignéras à Champcevinel

ree

En 1785 Jeanne Dorothée Michel-Duclaud, héritière du chanoine , en épousant Antoine Gros de Béler qui sera Juge de Paix, fait entrer l’hôtel de la Division des allées de Tourny, dans cette famille.

 
 
 

Commentaires


bottom of page