Cette remarquable demeure Rue des Farges (forges) serait une des plus anciennes du XIIe siècle du Puy Saint-Front, construite sur le tracé d'une voie romaine. Il s'agissait d'une maison romane initialement à deux niveaux. Propriété de l'ordre du Temple au milieu du XIllème siècle, elle est vendue en 1332 à Hugo Peyroni bourgeois de la. Ville, par le commandeur d’Andrivaux, comme l’atteste un acte de vente. Elle aurait hébergé le connétable Bertrand du Guesclin en 1376 (guerr

Cette remarquable demeure Rue des Farges (forges) serait une des plus anciennes du XIIe siècle du Puy Saint-Front, construite sur le tracé d'une voie romaine. Il s'agissait d'une maison romane initialement à deux niveaux. Propriété de l'ordre du Temple au milieu du XIllème siècle, elle est vendue par le commandeur d’Andrivaux, en 1332 comme l'atteste un acte de vente, par le commandeur d’Andrivaux à Hugo Peyroni bourgeois de la ville. Elle aurait hébergé le connétable Bertr

La rue du Plantier dans le secteur sauvegardé du centre ville, tire son nom des vignes que l’on trouvait au Moyen Âge au nord de la cité. L’hôtel de Nervaux a été rebâti au XVIe siècle par la famille de Mèredieu (XVI-XVIIIe siècle) au 14 de cette rue et côté rue des Dépêches sur la partie la plus ancienne remontant aux XIIe et XIIIe siècles, qui conserve des caves voûtées et à l'est, un arc brisé du XIVe siècle au-dessus d'un portail. Le logis reconstruit à la Renaissance a

La façade cet immeuble situé 2 rue de la Miséricorde, composé de deux étages au-dessus d’un rez-de-chaussée, ne laisse pas vraiment imaginer sa magnificence intérieure. L’élément le plus notable de cet hôtel est son magnifique escalier en pierre de style Renaissance. Il dessert deux étages avec un vide central délimité sur les différents niveaux par des colonnes avec chapiteaux sculptés.C'est un escalier de type italien avec volée de marches et espalier. Les marches sont en

l’hôtel de la Petite Miséricorde ainsi que la rue de la Miséricorde devront leur appellation au couvent du même nom qui existait au XIIIe siècle. Au XVIIIe siècle la Petite Miséricorde au 4 de la rue, est la belle maison de pierre des demoiselles Duclaud et Bouchier de Vignéras où elles avaient ouvert une maison d’éducation pour jeunes filles. Son portail de pierre à fronton entrecoupé impose le rang de ses propriétaires. Élevée d’un premier étage noble sur un rez-de-chaussé

Au XIIIe siècle, la rue de la Miséricorde tire son nom d’un couvent du même nom. Au XVIIIe l’hôtel de Saint-Astier au 2 rue de la rue, était un palais de justice d’où le nom de Palais donné un temps à cette rue. Cet hôtel particulier à trois étages avec une seule baie à meneau par étage au 7 de la rue de la Miséricorde a été reconstruit au XVIIe siècle sur des bases plus anciennes des XIIIe et XIVe siècles. Son portail de pierre à fronton entrecoupé, signe la bonne position

Sitée Place du Coderc, cette maison construite au XVIIe siècle dans le style de la Renaissance, sera en partie détruite lors d’un incendie en 1719. A cette époque, les façades sont transformées et les baies réduites. L’architecte Martin Montastier en fait un l’immeuble sur deux étages à deux travées identiques, complété en principal par un troisième étage sous combles, éclairé d’une fenêtre. À l'angle de la rue Limogeanne, on remarque une tourelle polygonale en encorbellemen

Au n°6 de la rue de la clarté, ce hôtel était depuis le XIVe siècle celui de la famille Gonthier de Biran, originaire du Limousin. Dans la cour, une porte Renaissance entre deux pilastres sous un entablement, surmontée d’une coquille dans une frise, donne accès à une tour d’escalier désormais bien éclairée de fenêtres et de fenestrons. Le fameux François Pierre Gonthier de Biran (1766-1824) qui signera Maine de Biran, y résidera. Son père Jean dit Maine Gonthier de Biran né

Depuis des années, je remets cette visite, sans doute parceque les photos partagées sur les groupes, sont nombreuses. Ce dimanche matin, avant l’automne annoncée par renfort de feuilles jonchant nos maisons, m’amène à cette visite. L’abbaye était l’une des quatre abbayes cisterciennes du Périgord, construite au XIIe et XIIIe siècle sous l’impulsion de Foulques, abbaye de Boschaud (frère de Géraud de Salles). La guerre de cent ans ne l’épargnera pas mais c’est l’armée de Colig

visiter TULLE ce 18 Octobre 2025 était je l’avoue, un choix facile à seulement une heure de chez nous. Les photos vont vite vous expliquer notre belle récompense historique. Autour de la cathédrale, le centre moyenâgeux et Renaissance qui se mérite car situé en hauteur, est resté authentique, les bâtisses, les tours, les passages, les portes sont des chefs d’œuvre comme sur la photo 11. Seul regret aucune explication n’est apposée sur les façades - Photo 5 - impossible de n

Villefranche est une bastide française fondée en 1261 par Alphonse de Poitiers frère de Saint-Louis, comte de Toulouse du fait de sa femme Jeanne de Toulouse. Dans l'acte de fondation le 3 février 1261, le comte demande à Pons Maynard, notaire du sénéchal d'Agenais et de Quercy, Guillaume de Baniolz, d'établir la bastide de Villefranche près de l'église de Viel-Scieurac du diocèse de Périgord dont la patronne était Notre-Dame et le titulaire saint Martin, sur un site désigné

Cette année, le château a rejoint le réseau des Grands Sites en Périgord pour sa proximité géographique mais aussi pour la qualité de son offre en médiation du patrimoine ainsi qu'en animations et festivités intégrées à la programmation du site. « Dans la cour des grands » Depuis le début de cette année, le château de Bonaguil fait partie du réseau Les Grands Sites du Périgord, qui regroupe 17 sites parmi les plus visités de la Dordogne, dont Biron, Puymartin, Fénélon, Commar

Le Jardin de Gabriel « chez Audebert » à Nantillé (Charente-Maritime) Roulant sur la D 129 en direction d’Aulnay, un jardin peuplé de centaines (388) de statues et bustes de taille humaine, m’a fait faire demi-tour. Les réalisations exécutées entre 1969 et 1989 sont en ciment armé peint et leur créateur s’appelle Gabriel Albert (1904-2000). Avant même de chercher plus d’informations, son univers minéral ramène à celui du Palais Idéal du facteur Cheval lui-même répertorié com

Martel est une ville créée entre le XI e et le milieu du XII e  siècle, possédée par le vicomte de Turenne à partir de 1180. La première mention de Martel, Martell, Martellum dans un document apparaît dans le cartulaire de l'Abbaye d'Aubazine à partir de 1140, et dans l’histoire de la vicomté de Turenne. L'attrait économique de sa position géographique, a fait de Martel une cité « carrefour » au croisement de la route royale Paris-Toulouse qui passait à proximité de Martel e

Les moines de l'abbaye de Charroux en Poitou y fondent au VIIIe siècle un prieuré qui attiré sous sa protection une population de...

Le château du Logis à Javerlhac-et-la-Chapelle Saint-Robert est situé sur la rive gauche du Bandiat à 100 m de la route départementale...

Les vitraux de la Cathédrale de Chartres – La décision de faire déposer les vitraux de la Cathédrale Notre-Dame de Chartres et de les faire entreposer dans les cryptes, sera prise pour ne pas renouveler la triste expérience de 1914 qui a vu la destruction des vitraux et de la Cathédrale de Reims qui fut bombardée 280 fois. Donc, il fallait sauver 172 vitraux médiévaux de Chartres illustrant la Bible et la vie des saints mais aussi celle des corporations, représentant 2600 m2

dimanche 5 octobre de retour de Rochefort - je vous inonde de bégonias après vous avoir parlé de l’Arsenal - LE ROI, LE MINISTRE ET...

Les guerres de Louis XIV sont cinq conflits engageant le royaume de France pendant les 72 années de règne de Louis XIV (1643-1715),...

En 1953, Robert Doisneau intrigué par l’œuvre de Raymond Isidore, va réaliser un reportage. Par la suite le photographe viendra rendre...