Après les guerres de religion, les campagnes sont ravagées et sur le coteau boisé qui domine N-D de Sanilhac, le château de La Goderie (Gauderie) fief des Mèredieu sera entièrement reconstruit au XVIe siècle. Les Mèredieu famille qui donnera à Périgueux des consuls, des maires, des chanoines et des magistrats, possèdera au XVIe siècle quelques hôtels particuliers dans la cité dont celui reconstruit de la rue Limogeanne, l’hôtel de Nervaux 14 rue du Plantier qui portait le no

Non loin de la Cité des Pétrucores, autour du tombeau de Saint-Front, un bourg marchand qui résiste à l’autorité du comte de Périgord,...

Hôtel de Sallegourde 8 rue Aubergerie   En 1474 pour accéder à la noblesse, Géraud Arnaud de Golce marchand drapier près de l’église de...

Le château de la Gaubertie se situe en Périgord pourpre. Il est implanté en hauteur entre les villages de Clermont-de-Beauregard (ville fortifiée qui appartiendra durant la guerre de cent ans, alternativement aux Rois d’Angleterre et de France) et Saint-Martin-des-Combes. Avant le XIVe siècle la Gaubertie était le domaine des Gaubert, famille qui détenait rentes et moulins dans les paroisses de Saint-Martin-des-Combes et de Clermont. En 1370 Guillaume Gaubert lègue à son frèr

Face à la cathédrale Saint-Front, la rue de la Clarté orientée du levant au couchant sans entrave à la lumière, est l’une des rares du Puy-Saint-Front qui pouvait bénéficier de la clarté. Au n° 7 de la rue de la clarté, depuis 1759 Jean François Daumesnil (1728-1811) ancien officier d’origine normande devenu bourgeois de Périgueux, tient un commerce de linge. Chez ce drapier qui sert les plus belles dots, on trouve des coiffes à la reine façon Marly, des bas de soie, des mouc

En décembre 1536, Guilhem de Petit, d’une très bonne ancienne famille de Périgueux, en possession depuis  plusieurs siècles des premiers emplois de magistrature de cette ville,  achète une borie fortifiée à Champcevinel (Borie-Petit) aux Chanoines de l’église de la cité à Périgueux. En 1585 , la petite fille de Guilhem de Petit, Claire de Petit, épouse Pierre de Crémoux (1547-1623) sieur de La Combe, receveur des tailles pour le roi en Périgord et à la fin du XVIe siècle, la

Pierre de Solminihac, seigneur de Belet, de la Vigerie et de Récidou construit un hôtel particulier en 1505 sur les murs et les terres de...

promenade à Périgueux Le comte Wlgrin de Taillefer meurt le 2 février 1833. Dans son testament, il lègue ses antiquités à Joseph de...

Promenade à Périgueux Sur la place de l’ancien hôtel  de ville au cœur de la Cité du Puy Saint-Front, se tient l’hôtel particulier des Lagrange-Chancel édifié vers 1650 par Pierre Bertin premier seigneur d’Antoniac à Razac-sur-l’Isle dépendant de la châtellenie de Périgueux, Avocat et époux d’Honorette de Puybertrand. Leur fille Anne demoiselle d’Antoniac épousera Léonard de Chancel et leur fils aîné François Joseph de Chancel dit « Lagrange-Chancel » (1677-1758) va naître da

Au Ve siècle, les invasions des Germains puis des Wisigoths, obligent la population à se réfugier dans les grottes agrandies par des habitations troglodytiques. S’y trouvent la représentation gravée d’un renard ainsi que d’une vénus sculptée remontant à la chute de l’empire romain qui, jusqu’en 1987, fera l’objet de la célébration de la fête annuelle de l’Assomption. En excavant les plafonds des grottes, l’éperon rocheux s’est isolé servant aux premiers remparts du XIe siècl

Au milieu du XIIe siècle, la motte féodale et le cluzeau sous une partie du château, va céder la place à une construction militaire et à...

Promenade à Périgueux   La place Francheville, vaste espace central a fait évoluer Périgueux vers la modernité en devenant le centre « geek » et la présence de la Tour Mataguerre, témoin des remparts de l’enceinte médiévale de la ville, interroge le passant qui arpente le secteur sauvegardé. Au IVe siècle, la cité gallo-romaine à l’ouest prendra le nom de « Cité des Pétrucores « en se repliant sur elle-même passant d’une surface de 80 hectares à 6,5 hectares entourée de rempa

À 8 kilomètres du château de Hautefort, Tourtoirac en est le village le plus proche. Son abbaye monastique, fondée au début du Xle...

5 Allée de Tourny Face au très bel hôtel Brou de Laurière route de Paris (7, Bld. Wilson) qui sera construit en 1911 par le médecin Marc...

Le château de la Rivière sur des fondations très anciennes laissant apparaitre, au niveau de la cave actuelle, en direction de l’étang, des trous de tirs, est localisé dans le cours du Ravillou et de son affluent le ruisseau des Vaux. Construite sur des douves, une tour surmontée d’un pigeonnier, avec une chapelle de plein pied et un plafond voûté, comporte de remarquables décors peints et atteste d’un repaire noble médiéval. Cette tour est le bâtiment le plus ancien du doma

La maison Renaissance appelée Maison du Pâtissier ou Maison Franconi ou encore Maison Tenant, se situe au centre-ville 17 rue Eguillerie à l’angle de la Place Saint-Louis. Le cardinal Hélie de Talleyrand l’aurait fait construire au XIVe siècle pour en faire une résidence de la famille comtale. Modernisée en 1518, une inscription sur le côté droit du portail « domus construction ann d.1.S.1.8 »(Construction de la maison en l’an du seigneur 1518 par la grâce du très Haut) Sur l

La maison RENAISSANCE appelée Maison du Pâtissier ou Maison Franconi ou encore Maison Tenant, se situe au centre-ville à l’angle de la...

L’incendie du 28 mai 2025 aurait pu détruire « cette merveille ». L’escalier qui a quand même souffert rappelle une réalité, notre...

L’hôtel de Ville 23  rue du Président Wilson L’abbé François-Odet d’Aydie (1702-1794) dernier des neuf enfants du seigneur de Vaugoubert Armand d’Aydie et de Marie de Beaupoil de Saint-Aulaire, sera dès l’âge de 17 ans pourvu du titre d’abbé de l’abbaye de Saint-Angel au diocèse de Périgueux. Chanoine de la cathédrale de Tours (il en sera le doyen pendant trente ans, puis vicaire-général) et grâce à l’influence du cardinal de Fleury il sera aumônier du roi Louis XV en 1736,

L’hôtel de Fayard, Renaissance appelé aussi Maison Estignard au cœur de la cité et du Périgord, constitue son patrimoine emblématique Son corps de logis principal s'étend du 3 au 5 de la rue Limogeanne. Edifié en 1526 par Raymond de Fayard (1480-1554), juge-mage de Périgueux, lieutenant-général civil et criminel pour le roi en Périgord marié à Marguerite de Tricard de Rognac, il est à l’origine de la porte décorée de la salamandre de François 1er qui mène à un impressionnant